J’étais confortablement installé dans ma baignoire, je profitais avec bien-être d’un bain chaud, lorsque le téléphone se mit à sonner. Je me levais précipitamment pour répondre, nu comme un vers. Mon avocat m’informe qu’enfin le Tribunal de Commerce a décidé, après 21 ans de bataille épuisante, de rouvrir mon dossier. Nous sommes en 2002.

Mesdames le Garde des Sceaux, Elisabeth GUIGOU et Marylise LEBRANCHU ont tenu compte de mes courriers et le Président du tribunal de commerce, Monsieur COSTES, ainsi que la Vice-présidente Madame Perrette REY (qui deviendra la Présidente du Tribunal de Commerce) sont enfin disposés à me rencontrer afin de réparer l’escroquerie dont mon entreprise et moi-même avons été les victimes de la part d’un juge commissaire nommé PIHIER* (banquier lui-même) au profit de son confrère la Banque Rothschild laquelle, pour se dédouaner, a d’une part obligé leur Directeur Général, Monsieur Georges BATT à servir de fusible et à être condamné par le Tribunal Correctionnel et d’autre part a transféré l’ensemble de leurs erreurs de gestionnaires à l’Européenne de Banque.

 
 
 

N’ayant pas le courage d’en assumer toute la responsabilité.

 
 


Cette affaire a été le théâtre d’un jeu appelé l’envoi de la patate chaude, de banque en banque de mandataire de justice en mandataire de justice, de Tribunaux en Tribunaux, de Cour d’Appel en Cour d’Appel et de Cassation en Cassation, pendant bientôt 30 ans et ce n’est pas encore fini.

 

Nous allons bientôt rentrer dans une nouvelle décennie pour atteindre probablement les 40 ans.

 


Il reste encore une bataille à livrer à l’encontre d’un assureur COVEA RISK qui doit assumer financièrement toutes les erreurs commises par les auxiliaires et mandataires de Justice.
Pour cela le Procureur de la République à demander à Maître Jean-Claude PIERREL mandataire de justice d’assigner l’assureur professionnel des auxiliaires de justice en dommage et intérêt.

Dont les noms suivent :
N° 1 Maître PAVEC, décédé.

N° 2 Maître AYACHE Mandataire à Créteil
N° 3 Maître BAUMGARTNER
N° 4 Maître MARINGE et DE QUAY Commissaire Priseur (entre temps décédé) qui avait accepté sous la pression du Juge Commissaire PIHIER d’établir un inventaire unilatéral avec l’Européenne de Banque en tant que seul interlocuteur, sans la présence du propriétaire d’un stock de joaillerie, diamants et pierres précieuses d’une valeur estimée en 1981 à 3.354.025 € et de 11.600 USD, inventaire qui a abouti à la piètre restitution d’un nombre de pièces limitées. La différence représentant plus de 85 % de ce stock s’est évaporée au profit de ?????………

   
 

Pourquoi, Banque Rothschild et moi ?

 
 


A titre personnel, j’étais client de cette banque, mes cinq entreprises ont été également gérées par cette banque.

Cette gestion de la banque reconnue par les tribunaux a eu des conséquences tragiques

   
 

Je vais donc écrire un livre sur cette affaire effarante, invraisemblable et pourtant véridique.

 


Pour une meilleure compréhension, je vais commencer par écrire ma biographie. C’est le roman d’une vie qui raconte mon enfance pendant les années de guerre, ma jeunesse d’orphelin blessé, mes amours, mes ambitions, ma vie professionnelle.
Mon histoire débute en Hongrie, dans la très belle ville de Budapest.

 

 

Ce blog est ouvert juste pour information

 



Le Juge commissaire PIHIER a été à la fois juge et partie, ni la cour d’appel ni la cour de cassation n’ont voulu relevé cette anomalie ? ! (pour une raison qui m’échappe mais j’en laisse la responsabilité à la justice.)

   
 
 

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